« J’ai un bilan, je continuerais à me battre » a lancé Jean Espilondo à l’annonce des résultats des élections municipales sur sa commune. Le maire sortant ne peut que prendre acte d’un scrutin qui le place à 8 points derrière le candidat de l’UMP, Claude Olive, à 44,6% des votes. « Je constate », lâche le socialiste qui pointe l’abstention pour expliquer ses 36,45% des suffrages. Un millier d’électeurs lui ont manqué, dans un contexte général où le vote socialiste est en baisse et avec un fort taux d’abstention.
Faute de pouvoir draguer les abertzale (5,75%), pour incompatibilité idéologique profonde et avec un Front de gauche à plus de 4%, Jean Espilondo risque d’avoir bien du mal à remonter la pente. Mathématiquement ce serait de toute façon insuffisant. Elu dans un mouchoir en 2008, le maire se voit rappeler que la présence socialiste à Anglet pourrait n’être qu’une parenthèse dans une longue tradition de magistrature de centre droit. Jean-Baptiste Mortalena, qui capte encore 9,88% de voix de droite, est en passe de réussir son objectif de sanctionner la politique de Jean Espilondo.
A Anglet, le bilan d’Espilondo
« J’ai un bilan, je continuerais à me battre » a lancé Jean Espilondo à l’annonce des résultats des élections municipales sur sa commune. Le maire sortant ne peut que prendre acte d’un scrutin qui le place à 8 points derrière le candidat de l’UMP, Claude Olive, à 44,6% des votes. « Je constate », lâche le socialiste qui pointe l’abstention pour expliquer ses 36,45% des suffrages. Un millier d’électeurs lui ont manqué, dans un contexte général où le vote socialiste est en baisse et avec un fort taux d’abstention.
Faute de pouvoir draguer les abertzale (5,75%), pour incompatibilité idéologique profonde et avec un Front de gauche à plus de 4%, Jean Espilondo risque d’avoir bien du mal à remonter la pente. Mathématiquement ce serait de toute façon insuffisant. Elu dans un mouchoir en 2008, le maire se voit rappeler que la présence socialiste à Anglet pourrait n’être qu’une parenthèse dans une longue tradition de magistrature de centre droit. Jean-Baptiste Mortalena, qui capte encore 9,88% de voix de droite, est en passe de réussir son objectif de sanctionner la politique de Jean Espilondo.
A Anglet, le bilan d’Espilondo
« J’ai un bilan, je continuerais à me battre » a lancé Jean Espilondo à l’annonce des résultats des élections municipales sur sa commune. Le maire sortant ne peut que prendre acte d’un scrutin qui le place à 8 points derrière le candidat de l’UMP, Claude Olive, à 44,6% des votes. « Je constate », lâche le socialiste qui pointe l’abstention pour expliquer ses 36,45% des suffrages. Un millier d’électeurs lui ont manqué, dans un contexte général où le vote socialiste est en baisse et avec un fort taux d’abstention.
Faute de pouvoir draguer les abertzale (5,75%), pour incompatibilité idéologique profonde et avec un Front de gauche à plus de 4%, Jean Espilondo risque d’avoir bien du mal à remonter la pente. Mathématiquement ce serait de toute façon insuffisant. Elu dans un mouchoir en 2008, le maire se voit rappeler que la présence socialiste à Anglet pourrait n’être qu’une parenthèse dans une longue tradition de magistrature de centre droit. Jean-Baptiste Mortalena, qui capte encore 9,88% de voix de droite, est en passe de réussir son objectif de sanctionner la politique de Jean Espilondo.