Ohidura, sorkuntza arrakastatsu baten geroa ?

Ekainaren 3an, ostiralarekin, Baionako Unibertsitatean, arratseko 19:00etarik goiti Euskal Kultur Erakundeak antolatzen duen “Tradizioa, egia hutsa ote da ? Sorkuntzaren erronkak Euskal Herrian” hitzaldian parte hartzen du, beste hainbat hizlarirekin, Bordaleko zientzia politika institutoan CNRS-eko ikertzailea den Xabier Itçainak.
Aintzin jasta gisa tradizioari, ohiturari eta sorkuntzari buruzko Enbata.info-ren bizpahiru galderei erantzunak ekartzen dizkio jarraian.

Gaur so eginen diogu geroari!

Herri Urrats egunean - Iparraldean, demografia apaltze bat ezagutzen dugu urte hauetan, eta beste sareetan haurren kopurua jautsiko delarik, Seaskak heldu den ikasturtean, berriz ere aurten baino 150 ikasle gehiago izanen ditu ikastoletan. 3 500 ikasletik goiti beraz.
Eta azken urteotako hazkundeari so egiten badiogu, 2030 urterako 6 000 ikasleren heina gaindituko dugu. Ez da ameskeria, jadanik ama ikastoletan hasiak diren haurrek ibilbidea bururatuko dutenean izanen den ikasle kopurua baizik.

Rafraîchir la mémoire

C’était sans doute l’intention de Monsieur G. d’Alençon (haut fonctionnaire de l’évêché de Bayonne) lorsqu’il annonça dans Notre Eglise n° 24 de mars 2012 p. 33, la réédition du «best-seller», Pour qu’Il règne , du théoricien de l’extrême droite, Jean Ousset.
Aucun doute, l’extrême droite était bien dans la place, je veux dire au palais épiscopal de Bayonne. Je n’avais pas manqué de dénoncer cette publicité de l’organe officiel de l’Eglise de Bayonne.

« Sous cette mitre flottent d’autres papillons »

Au mois d’octobre 2015 la revue Herria 2000 Eliza a demandé à Michel Oronos, prêtre à la retraite du diocèse de Bayonne, de participer à son numéro bilan «Vatican II 50 ans», en répondant en deux pages " à trois questions. Quelle a été la réception du Concile dans l’Eglise de Bayonne ? Suite aux perspectives ouvertes quelle est la situation actuelle dans votre diocèse ? Comment voyez-vous l’avenir de l’Eglise ?
Voici les réponses de Michel Oronos. Celle concernant la situation actuelle du diocèse complète les articles déjà publiés dans Enbata.info , "Mgr Marc Aillet, cheval de Troie de l’intégrisme" (de Jean-Sébastien Mora) et "Les corbeaux" (de Jean-Marc Abadie).

Mon engagement est renforcé

Le débat est vif. Il traverse toutes les familles politiques. D’où l’intérêt du point de vue de Max Brisson, figure du parti Les Républicains, premier vice-président du Conseil départemental, sur l’EPCI unique.
Le texte ci-après a été lu lors de la réunion publique de Batera, le 9 mars à Biarritz.

Filer à l’anglaise

Roccu Garoby, président de l’Alliance Libre Européenne Jeune - Au mois de mai prochain auront lieu les prochaines élections pour élire le Parlement écossais et l’Assemblée galloise, mais Londres a décidé d’organiser un référendum sur l’appartenance du Royaume-Uni à l’Union européenne.
Une bonne raison pour les Écossais, les Gallois et les Nord-Irlandais de filer à ”l’anglaise”.

Faire un avec nos différences

Isabel Capdeville, Inter-Amap Pays Basque - Les différentes AMAP (Association pour le maintien d’une agriculture paysanne) d’Iparralde (regroupant 1500 familles) proposent une double approche de la place de l’agriculture dans le futur l’EPCI (Etablissement Public de Coopération Intercommunale) Pays Basque. Une Communauté Pays Basque unique pour quoi ? Une agriculture pour quoi faire ?
Nous vivons sur un territoire qui veut porter un sens et où peuvent se rencontrer deux mondes (l’urbain et le rural ou la Côte et l’Intérieur). Ne le morcelons pas, ni dans ses compétences, ni dans ses particularités.

Aiete ou le chemin de la politique

Jean-Pierre Massias est professeur en droit constitutionnel à l’Université de Pau et des Pays de l’Adour. Agrégé de droit public, il est spécialiste des processus de pacification, de transition démocratique et de justice transitionnelle.
A quelques jours de la conférence «Comprendre et mesurer l’enjeu du processus de paix au Pays Basque» qui aura lieu le vendredi 18 décembre à Ossès, il répond aux questions d’Enbata.info.

20 000 personnes décrètent l’état d’urgence climatique !

Plus de 20 000 personnes se sont rassemblées ce samedi 12 décembre autour du Champ-de-Mars pour dénoncer l’échec de la COP21 à empêcher le franchissement du seuil des 2 degrés de réchauffement, et pour déclarer l’état d’urgence climatique. Les barrages de police en ont retenues plusieurs milliers à l’extérieur du Champ-de-Mars.
Des chaînes humaines ont commencé à se mettre en place dès 14h00. Elles sont parties de la Tour Eiffel, symbole de la révolution industrielle et de la COP21, ont traversé le Champ-de-Mars pour rejoindre le mur de la Paix. Elles symbolisaient ainsi un appel à l’humanité à quitter le modèle productiviste qui dérègle le climat, à exiger la justice climatique pour construire une paix durable et une société soutenable.