On file à très grande vitesse dans le mur !

Jean-Marie DARMIAN - "La vitesse ne fera bientôt plus recette car elle coûte cher et en plus elle n’est utile que dans peu de circonstances. J’ai personnellement été convaincu de l’intérêt de la lenteur assumée, celle qui constitue le meilleur rapport entre la qualité de vie et les nécessités du progrès."
"Il existe un juste équilibre entre les trois critères d’un déplacement : fiabilité, confort et sécurité. Un changement d’appréciation que la société n’a pas pris en compte depuis deux décennies en se lançant frénétiquement sur la... vitesse, rien que la vitesse."

« De qui se moque-t-on ? »

Environ 400 manifestants ont répondu à l'appel de Seaska ce samedi 1er février en se mobilisant à 16h00 devant la Sous-Préfecture de Bayonne contre les différentes mesures préfectorales s'attaquant aux aides apportées par les communes aux ikastola et pour demander une "loi pour les écoles immersives".
"Monsieur Pierre André Durand, si vous faites une circulaire pour dire ce que l’on sait déjà, pour restreindre encore plus le cadre restrictif, vous pouvez vous abstenir. Nous n’avons pas de temps à perdre. Dites-nous plutôt quelle solution pour Hendaye ? Quelle solution pour Briscous ?" mentionnait Paxkal Indo, Président de Seaska, dans son discours qu'Enbata.info s'est procuré.

Le découpage des cantons ne règle pas le cas « Irissarry »

Depuis 2001 le Conseil Municipal d'Irissarry a sans cesse pris des délibérations demandant d'intégrer le canton concernant son bassin de vie (celui de Baigorri et de Garazi). Ce même conseil démissionnait en bloc pour dénoncer l'intégration de force d'Irissarry dans la Communauté de communes d'Iholdy Oztibarre.
Avec le découpage cantonal actuel, le Pays Basque est respecté, mais le cas "Irissarry" reste à régler comme le montrent les dernières correspondances de la commune à l'attention de la Préfecture.

« Notre maison brūle et nous regardons ailleurs »

24 personnalités appellent à Alternatiba. Rien n’a changé depuis le célèbre constat “Notre maison brûle et nous regardons ailleurs”. Pire, depuis l’échec du Sommet de Copenhague en 2009 et l’éclatement de la crise financière, l’urgence climatique semble avoir disparu de l’agenda des décideurs.
Le projet Alternatiba est né dans ce contexte. Il veut contribuer à relancer une mobilisation citoyenne, au niveau européen, dans la perspective d’un sommet décisif pour les négociations internationales sur le climat qui se tiendra fin 2015 à Paris. Le dimanche 6 octobre, à Bayonne, nous serons des milliers à nous retrouver pour débattre des questions climatiques.

Au Hameau du Plantoun à BAYONNE, le laboratoire expérimenté in-situ du «mal-logement» !

Le mal-logement est un néologisme couramment employé pour définir soit la situation d'insalubrité ou de précarité de personnes dans le logement qu'elles occupent soit la situation de personnes qui aspirent à un logement.
Pendant les fêtes de Bayonne, à partir de 17 h, le samedi 27 juillet 2013, les squatteurs du Hameau de Plantoun nous accueilleront dans leur nouvelle maison pour parler de la situation du «mal-logement» et nous inviteront à rejoindre ou soutenir leurs luttes pour le droit au logement pour tous et toutes.

Belaunaldi berriaren ardura

Euskal Herria aberri zaharra dugu, batetik Euskara eta Euskal kulturan oinarritutako nazioa izango litzateke eta bestetik gure geroa elkarrekin eraiki edo erabakitzeko komunitate politikoa. Elkar elikatzen diren bi elementuez osaturik dugu Euskal Herria.
Gazteok osatzen dugun belaunaldi berriaren eginkizuna da urteetako zauriak (Ezkertiar eta Abertzaleen arteko zatiketak) ixtea, gure arteko saminak desagerraraztea eta horien ordez gure helburuekiko pausu sendoak emateko anbizioa eta gogoa piztea.

Euskal Herria ne se construira par sur des aveuglements et des écrans noirs

Ouvert depuis 2007, le portail francophone d'EITB a su restituer l’actualité permanente des grands dossiers liés à l'urgence environnementale et sociale, des enjeux culturels, de la défense de la politique linguistique basque et de la vie politique générale d'Iparralde.
Les déjà plus de 400 signataires de la pétition, demandent au groupe EITB de réfléchir aux conséquences de cette rupture de lien que le Sud et le Nord d’Euskal Herria souhaitent conserver au moment où le EITB a effectué des efforts financiers conséquents pour la TNT.

Nucléaire ou effet de serre, «Ni l’un, ni l’autre mon général !»

Fabrice Flipo - Le nucléaire a, dans notre pays, un effet de sidération extraordinaire. Nombre de nos concitoyens estiment en effet que sans nucléaire, on risque de revenir à la bougie. Discutez avec un passant : très vite, il vous demandera comment on continuera de soigner le cancer, sans le nucléaire.
Et pourtant il existe des pays où l’on dispose de toutes les commodités modernes, sans nucléaire ! Citons l’Autriche, par exemple. Tout se passe comme si, en France, on oubliait systématiquement 80% du problème ! Du coup, entre irradiés ou surchauffés, on nous somme de choisir. Un tel choix est absolument dénué de fondement, il faut le dire et le répéter.