●●● que le prix du kilo d’asperge soit de 3€ à Iruñea et de 9,90€ à Donibane Garazi. Tartaro savait que la Navarre était coupée en deux depuis 1515, mais de là à ce que Rungis-Paris fixe le prix de l’asperge…
●●● des records historiques battus en Pays Basque Sud, qui avec 5 % de la population de l’Etat espagnol concentre 50,36 % des grèves menées en 2022. Et voit le syndicat ELA gagner en Biscaye la grève la plus longue d’Europe, 3 ans et 8 mois, dans l’entreprise de distribution pharmaceutique Novaltia. Dopés à la caisse de résistance ?
●●● … qu’à l’approche du 1er mai, les syndicats français excluent toujours LAB de l’intersyndicale. Tous ensemble, tous ensemble… sans les Basques ?
●●● et réjoui que l’élue de Kanbo Lilian Hirigoyen s’oppose à la francisation du panneau indicateur « Route de Zelaia » en Celhaya, et demande si l’on écrit Nouillorque. L’adjoint J. N. Magis marche sur les pas de Marcel Aymé qui dans les années 30 avait proposé ouiquende, coquetèle et biftèque.
●●● qu’à Duzunaritze-Sarasketa, où est né le premier écrivain en euskara, la municipalité appelle une rue « Benat Etxepareko karrika ». Lilian Hirigoyen, au secours !
Heureuse de lire qu’une personne au Pays basque s’intéresse à la toponymie !
Sachant que les Souletins ne prononcent pas la lettre « r » entre deux voyelles, suite à l’adressage, vous trouvez : » Route Beay – Berariko bidea ». La formule basque est correcte, Berari étant un domonyme. Comment peut-on écrire « Beay » au XXIe siècle ? Lorsque j’en parle autour de moi, aucune réaction. Il est vrai que 99 % des bascophones ne sont pas alphabétisés !
Egun on,
Baduzu ere : la rhune, beraz la petite rhune, cherchebruit, bide sahara… eta abar… lana badugu…
Eta « Olhaibiko elisa », eta Arangoitze, eta Biskai…. Lan asko, beraz…