●●● qu’une enquête environnementale dévoile une énorme pollution des sols de la forêt de Sare au col de Lizarrieta, avec le plomb des cartouches de chasseurs, 820mg/kg de terre, soit deux fois la dose autorisée. Les champignons dépassent de 4 à 14 fois la dose permise. C’est plombant…
●●● de voir l’ancien ministre de l’intérieur Matthias Fekl, en exercice le 8 avril 2017, signer la demande de relaxe des artisans de la paix de Louhossoa. C’est désarmant…
●●● que le dépôt de lisier et de pneus devant deux hypermarchés palois par la FNSEA et les JA coûte pour leur enlèvement entre 20.000 et 30.000 euros, plus entre 100.000 et 150.000 euros de remise en état des sites. Pas de demande de dommages et intérêts aux fauteurs de troubles. Ailleurs la SNCF exige 159.000 euros des Artisans de la Paix qui se sont enchaînés à une voie ferrée. « Laisser s’exprimer la colère » mais seulement pour les agri-managers…
●●● et réjoui de voir, au moment où on panthéonise Missak et Mélinée Manouchian, Max Brisson monter au créneau pour défendre l’amendement du sénateur communiste Ian Brossat visant à en finir avec la niche fiscale des meublés de tourisme. Comme un petit parfum de programme du CNR, cela annoncerait-il des jours heureux ?
●●● que le Prince de Monaco présent à Biarritz pour la quinzième édition de Biomarine, déclare « avoir trouvé les bonnes pratiques à mettre en place pour préserver les écosystèmes ». Au même moment, la presse révèle qu’Albert II a surtout trouvé les bonnes pratiques pour mettre ses milliards à l’abri dans des paradis fiscaux.