●●● et réjoui de l’engouement populaire autour de la 23e Korrika. Alors que certains piétinent ou régressent en matière de politique linguistique, l’euskara rassemble et avance à grandes enjambées.
●●● et même indigné des réactions démesurées du préfet pour un cercueil factice déposé à la mairie de Briscous afin de dénoncer le sort réservé à l’euskara par la municipalité. Haro sur les élus de Briscous et Harro Herri Korrika !
●●● et amusé d’entendre, lors du procès de l’action contre une agence Bouygues, Jakes Bortayrou expliquer aux juges, en euskara, son besoin d’être assisté par un interprète : « Moi, je n’ai pas besoin de traducteur, mais vous oui ! »
●●● que la mairie de St-Jean-de-Luz plante sur le très controversé îlot Foch un rejeton du chêne de Gernika. Sans doute pour y chanter un remake du Gernikako arbola qui fera hurler Iparragirre : « … Eman ta zabal zazu Gardenan dirua, Adoratzen zaitugu dirua santua! »
●●● et attristé d’apprendre que Laurent Inchauspé, maire de Saint-Jean-Pied-de-Port, ait refusé aux Artisans de la paix l’autorisation de tenir un stand d’information sur le procès de Louhossoa dans sa commune, où ont pourtant été signés les fameux Accords de Lizarra-Garazi. Laurent semblerait plus se situer dans l’héritage familial que municipal…