●●● et pas du tout attristé du départ pour la Bretagne du sous-préfet Dalennes, grand défenseur de la loi Falloux de 1850 pour contrarier l’enseignement de l’euskara. Là où il y a Falloux, il y a un loup, comme disait la Martine.
●●● de la schizophrénie des Verts du Pays Basque pondant un communiqué pour condamner l’entrée de leur secrétaire nationale au gouvernement, alors qu’à Bayonne et à la Région ils sont toujours à la remorque des socialistes. C’est asto-pitoyable.
●●● et réjoui que les carnavaliers luziens aient brûlé un San Pantzar en soutane, référence très claire à l’évêque Aillet. Comme criaient les sorcières de De Lancre du haut de leur bûcher: “je veux descendre!”
●●● pas tant que ça, qu’à la suite de cette purification par le feu, l’évêché, via un message sur Twitter, demande au maire de Donibane quelle est sa responsabilité dans cette charge contre l’évêque. Peyuco de répondre: les grands brûlés, c’est pas à St-Jean, c’est à Bayonne.