Les indépendantistes catalans obtiennent l’amnistie

Les deux partis Junts per Catalunya et PSOE signent le 9 novembre à Bruxelles un accord politique : amnistie contre vote au parlement le 15 novembre en faveur de Pedro Sanchez, chargé de constituer le prochain gouvernement espagnol.
Le PP et l’extrême-droite Vox ne supportent pas d’être écartés du pouvoir par le choix des partis catalans, basques, galicien et canarien. La tension est très vive dans le pays, où plusieurs institutions font savoir leur profond désaccord. Une guérilla politique et judiciaire est engagée. (...)

Texte intégral du projet de statut d’autonomie

Il a été adopté le 5 juillet par l’assemblée de Corse par 73 % des élus : 46 voix d'une union des trois groupes nationalistes élargie à la contribution de Pierre Ghionga (Soffiu Novu). La droite a voté contre (16), Corsica Libera (1) s'est abstenue.
A suivre aussi le texte intégral de présentation par le président du conseil exécutif corse Gilles Simeoni du statut d’autonomie qui a été soumis au vote. (...)

Escadrons de la mort en Iparralde : un nervis avoue

Caché sous une fausse identité en Argentine depuis 46 ans, José Ignacio Fernandez Guaza commit de nombreux meurtres de militants basques dans les années 70, commandités par la Guardia civil. Débusqué par des journalistes, il avoue et ne se repent pas. (...)
Le collectif Orhoit eta sala organise à partir du 25 novembre une exposition sur le GAL au Biltxoko, 7 rue des Augustins à Bayonne. (...)

Nouvelle loi sur l’enseignement

La Communauté autonome basque (CAV) débat de la principale loi de la législature. Elle porte sur le projet éducatif et linguistique en vigueur dans le système d’enseignement pour les prochaines décennies.
Avec l’accord du PNV, le PSOE veut sauver la filière hispanophone A qui a tendance à disparaître de la carte scolaire. (...)

La tombe de Franco coûte à l’État 768 € par mois

Le dictateur est-il vraiment mort en 1975 ? Pas tout à fait, puisque l’État espagnol paye tous les mois pour sa mémoire.
Le 20 novembre prochain, cela n’empêchera pas les Basques de sabrer le champagne lors du 48ème anniversaire de sa disparition, en entonnant un chant écrit pour son bras droit qu’ETA avait précédemment expédié ad patres : « Jende lasterkatzaile krudela bera die igorri... Yup ! La-la ». (...)