Au Pays basque, l’indépendance énergétique coule de source

C’est depuis fort longtemps que les rivières et ruisseaux du Pays Basque ont apporté une énergie locale et renouvelable, d’abord en écrasant le blé et le maïs pour les hommes et les animaux (3000 moulins ou usines recensés en 1890 dans les Basses-Pyrénées), puis en apportant l’électricité aux villes et villages bien avant d’autres régions de France. Nous avons, grâce à nos cours d’eau Pyrénéens et malgré le réchauffement climatique, une chance exceptionnelle de participer à la transition énergétique.
L’investissement financier, le travail personnel et la conscience d’être celui qui utilise l’énergie de l’eau en partageant ce bien commun sans l’épuiser ni le polluer sont des aspects rarement valorisés.

Au Hameau du Plantoun à BAYONNE, le laboratoire expérimenté in-situ du «mal-logement» !

Le mal-logement est un néologisme couramment employé pour définir soit la situation d'insalubrité ou de précarité de personnes dans le logement qu'elles occupent soit la situation de personnes qui aspirent à un logement.
Pendant les fêtes de Bayonne, à partir de 17 h, le samedi 27 juillet 2013, les squatteurs du Hameau de Plantoun nous accueilleront dans leur nouvelle maison pour parler de la situation du «mal-logement» et nous inviteront à rejoindre ou soutenir leurs luttes pour le droit au logement pour tous et toutes.

Besta bai…

Uda, festibalak, bestak, oporrak, aro ederra, mendia hondartza… Baina lanik gabe denarentzat zaila.
Alde batetik langileen bizi eta lan-baldintzak gero eta zailago eta arriskuan; bestaldetik, kontsumismo basan sartuak diren musika eta festa jaleak (nolabait definitzeko). Baliatu eta bota. Janaria, jantziak, puskak edota jendeak ere bai: bai lantegietako botagarri bilakatuak diren langileez mintzo garelarik...

Gure zerbitzari…

Izan dira azken denbora hauetan ere gertakari eskandalagarriak gure alderdian. Idikia ez zen zaldikia sakatu da egina prest saltzen diren plat batzuetan. Inkestak agerian eman du janariaren inguruan ahalgingarria den trafikua badela, erosleen errespetu mikorik gabe.
Haragiak bide izigarriak egiten ditu munduan, landua izanen den tokirat heldu aitzin; hainbeste itzuli nun arribatzean, lantegietan ez dakiten haragi hori zer den, etiketak histuak izanki, zenbakiak eta kodeak ez untsa ageri…gaixo inoxent batzu enganatuak izaiteraino… Hara ahalgerik gabe zerbitzatua izan zaikun teoria…

Une deuxième fois

"Cette crise n'est pas celle de 29, cette crise n'est pas une crise du capitalisme, cette crise est la dernière du capitalisme, qui est allé au bout de sa libido d'ogre." Eric Hobsbawn
La question, comme disait André Gorz, n'est pas de savoir si on sortira de ce capitalisme. La question est de savoir comment on en sortira : par la barbarie, ou pas.

Santé !

En pleine forme, Jean-Marc Abadie brocarde notre hôpital rénové dont pourtant nous avons tous besoin. Qui aime bien… D’autant que la critique pertinente porte à l’excellence. 
"Avec la santé, le capitalisme s’attaque à un pilier de la solidarité, à la qualité des services rendus aux patients. Nous sommes tous concernés."

Deux ans de perdus ?

L’amendement surprise déposé au Sénat par la sénatrice socialiste Frédérique Espagnac a pris de court les défenseurs de la Collectivité territoriale à statut particulier pour le Pays Basque.
Pantxoa Bimboire aborde ici des questions que l’amendement soulève et quelques-unes des conséquences qu’il pourrait entraîner.